Le chiffre d’affaires consolidé de Virbac au deuxième trimestre s’est élevé à 173,0 M€, en croissance de +11,9% par rapport à la même période de 2011. La progression des ventes a été de +9,1% hors impact favorable des taux de change et de +9,8% à parités et périmètre constants. L’ensemble des zones géographiques a évolué positivement, grâce comme au premier trimestre à une solide croissance en Europe du Sud, dans les pays émergents, aux Etats-Unis et au Japon, et à une évolution redevenue positive dans de grands pays comme la France et l’Australie.
Le Groupe a cédé, début mai, son activité de vente dans les circuits spécialisés (jardineries, animaleries, « petshops ») : produits d’hygiène et antiparasitaires en France et produits de nutrition en Europe, représentant en année pleine environ 10 M€ de chiffre d’affaires.

Sur l’ensemble du premier semestre le chiffre d’affaires ressort à 349,4 M€ contre 314,5 en 2011, une croissance globale de +11,1%, dont +8,9% à taux de changes constants et +9,2% à taux et périmètre constants.

- Sur le plan régional, cette performance est liée à la forte croissance générée : en Europe du Sud avec le lancement de CaniLeish (vaccin contre la Leishmaniose canine) ; aux Etats-Unis avec l’ensemble des gammes, le lancement de nouveaux produits (Easotic -dermatologie-, Effitix -antiparasitaire-) et l’expansion continue d’Iverhart, qui a en outre bénéficié de la fermeture temporaire du site de fabrication d’un produit concurrent ; en Amérique Latine avec le fort développement enregistré au Brésil et en Colombie ; en Asie avec en particulier l’Inde et le Japon. L’activité est en revanche restée stable en France et en Europe du Nord, où les marchés restent globalement en faible évolution, et est en léger retrait en Australie et en Afrique du Sud après une forte croissance en 2011.

- L’activité par espèces reflète ces évolutions géographiques. Le segment des animaux de compagnie a connu une croissance organique de +14,4%, tirée en premier lieu par la performance des Etats-Unis et de l’Europe du Sud, mais également de façon plus générale par l’ensemble des pays. Celui des animaux d’élevage enregistre une croissance organique de +2,2%, le niveau élevé d’activité dans les pays émergents étant partiellement compensé par une activité en baisse en Europe, dans un marché peu dynamique, et par l’évolution mentionnée précédemment en Afrique du Sud et en Australie.

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