Du 1er au 3 octobre, Virbac a réuni à Juan-les-Pins plus de 230 professionnels, principalement des vétérinaires venus de tous les continents, pour un symposium consacré à la filière lait. Au programme : trois demi-journées scientifiques sur le thème des 150 jours critiques pour la vache laitière animées par onze conférenciers, vétérinaires experts ou chercheurs spécialisés. 

L’observation de la gestion des vaches laitières montre que les 150 jours entre le tarissement et la nouvelle gestation cumulent des évènements potentiellement à risque et incluent de nombreuses modifications physiologiques chez la vache. Il est donc essentiel de bien comprendre cette période en ayant une approche globale plutôt que par maladie particulière. C’est ce que nous appelons chez Virbac "Target 150” (Objectif 150). 

 

Oui ! Nous sommes présents sur ce secteur dans plus de 40 pays, et notamment leader en Inde, premier producteur mondial de lait, et 4e sur le marché français. Près de 30% du chiffre d’affaires du Groupe est réalisé en ruminants, dont la moitié dans la filière laitière. Ce symposium s’inscrit donc parfaitement dans la stratégie de développement de Virbac. 

 

Les investissements R&D et industriels ainsi que les acquisitions de ces dernières années au niveau mondial ont démontré l’engagement de Virbac en faveur des ruminants et de la filière lait en particulier. Avec ce symposium, nous souhaitions aller plus dans la proximité clients, en fournissant aux vétérinaires et éleveurs des outils, des formations et des services applicables au quotidien, en complément de médicaments de qualité. Cela pour une meilleure prise en charge de la santé du troupeau et une optimisation de la production laitière. 

 

Tout à fait. Ils ont notamment apprécié le haut niveau technique des présentations et le bon équilibre entre les données scientifiques présentées et leur possible application pratique, sans compter les nombreuses possibilités d’échanges avec les équipes Virbac et leurs homologues étrangers. 

 

“Notre industrie est en cours de transformation. Le système extensif néo-zélandais et le système intensif européen sont en train de s’aligner sur un terrain intermédiaire, qui est nouveau pour tous. Les laboratoires vétérinaires peuvent accompagner ce changement à travers les leaders d’opinion.” 

 

“Le VDS a permis de nous nourrir des expériences d’autres pays du monde, et de comparer leurs systèmes de management et de production aux nôtres. Les limites imposées aux vétérinaires sur les antibiotiques, notamment en Europe, m’ont aussi beaucoup frappé.” 

 

“Les leçons apprises sur la gestion de la santé métabolique pendant la phase de transition, les troubles comme la dystocie liée au vêlage ou la gestion des mammites cliniques seront d’une immense utilité pour conseiller les éleveurs.”